Lille: Comment de vieilles rames TGV sont transformées en train moderne
Le Technicentre industriel de la SNCF, à Lille-Hellemmes, rénove chaque année une vingtaine de rames de TGV.
En 2020, une nouvelle usine doit voir le jour dans ce Technicentre industriel.
L’objectif est de digitaliser, de plus en plus, les TGV pour détecter les pannes avant qu’elles ne se produisent.
Trois à quatre fois moins cher que le neuf
« Ici, on fait du neuf avec du vieux », lance un technicien cheminot. Sur 2,5 km, les ateliers se succèdent. Ici, on répare les portes. Ailleurs, on rafistole la carrosserie. « On révise aussi les pièces qui vont du transformateur de 15 tonnes à la carte électronique, en passant par les essieux », note Jean-Paul Gomaris, directeur du TI d’Hellemmes.
Objectif : augmenter la durée de vie et la performance du matériel roulant. « Ces opérations de rénovation coûtent trois à quatre fois moins cher que d’acheter des rames neuves », assure Jean-Paul Gomaris.
Une nouvelle usine en 2020
Cette nouvelle organisation du travail se traduit aussi par la construction d’un nouveau site industriel de 28.000 m2 sur l’emprise du Technicentre d’Hellemmes. Il doit remplacer, dès l’année prochaine, environ 55.000 m2 d’usine, dont les plus vieux bâtiments datent du 19e siècle.
Lire l’article complet sur 20minutes
Lille opte pour un train électrique solaire SOIOS SunShuttle
La métropole européenne de Lille (59) « a décidé de remplacer son petit train diesel du parc des près du Hem vieillissant par le train électrique équipé de panneaux solaires, SOIOS Sunshuttle » qu’il commercialise. « Le SOIOS SunShuttle est le premier train électrique homologué pour la route et adapté pour le transport collectif. La locomotive tracte un, deux ou trois wagons, chacun transportant 20 passagers assis, pour un total de 60 personnes. Chaque toit est recouvert de panneaux solaires augmentant l’autonomie du train de 10 kilomètres par heure d’ensoleillement.
Lire l’article complet sur AVEM
Les premiers bus à hydrogène de France bientôt en service dans le Bassin Minier
Bruay-la-Buissière, petite ville du Pas-de-Calais près de Béthune, va bientôt devenir la première ville de l’Hexagone à tester en conditions réelles l’utilisation de bus à hydrogène. Après que le projet ait été initié dès 2015, et au bout de deux ans d’étude de faisabilité, le début des tests concrets devrait commencer fin mai, pour une mise en service dans le courant de l’été. Bruay-la-Buissière deviendra ainsi la première ville de l’Hexagone à tester en conditions réelles l’utilisation de bus à hydrogène. Pau devrait faire de même dans les mois à venir.