Depuis 3 ans les batteries au lithium sont devenues un sujet de réflexion important pour SNCF. Mais pour être prometteuses, les batteries au lithium n’en sont pas pour autant dénuées de contraintes. C’est dans ce contexte que s’inscrivent les travaux de Maxime Juston qui a démarré cet automne une thèse CIFRE co-encadrée avec l’Université Technologique de Compiègne. Les recherches de Maxime Juston porteront précisément sur le « suivi du vieillissement des batteries au lithium embarquées pour un usage ferroviaire ».
Après un état de l’art de la modélisation des batteries au lithium, le doctorant réalisera un travail de recensement et de prospective sur l’usage de ces batteries au sein de SNCF. Dans un deuxième temps, il s’attaquera à la modélisation du vieillissement avant d’élaborer un algorithme spécifique au monitoring de la santé des batteries.
Voir l’article : Batteries au lithium : quel vieillissement ?