Une nouvelle étape pour l’énergie éolienne offshore.
Fin du suspense sur l’identité des lauréats du second appel d’offres offshore en France. Les
futurs parcs éolien situés au large du Tréport (Seine Maritime) et des îles d’Yeu et de Noirmoutier (Vendée) seront attribués au consortium GDF Suez/ EDPR/Neoen Marine.
C’est une nouvelle étape franchie par la filière offshore en France, que les deux parcs de 500 MW chacun vont contribuer à structurer et renforcer.
Les deux parcs devraient fonctionner à l’horizon 2023. Ils comprendront entre 62 et 100 éoliennes chacun, et seront capables de produire au maximum environ 1 000 mégawatts (MW) d’électricité. La France, qui ne dispose pas pour l’instant d’éoliennes offshores, se lance donc sur le marché.
Les éoliennes en mer fonctionnent comme sur la terre ferme. Il s’agit de capter l’énergie du vent pour créer de l’électricité à l’aide notamment d’une turbine et d’un transformateur. L’électricité est ensuite transmise au réseau par des câbles sous-marins. Il existe deux technologies pour les éoliennes offshores. La technique « posée » prend appui sur les fonds marins. A l’inverse, la technique dite « flottante » permet de s’éloigner des côtes. Pour l’instant, les projets en cours en France n’utilisent que la technique dite posée. Francetv info répond à toutes vos questions sur l’énergie éolienne offshore.
Comprendre l’énergie éolienne offshore en six graphiques
A l’occasion de cette annonce, France TV Info, nous propose un article très complet pour mieux comprendre les enjeux liés à l’énergie éolienne offshore en France.